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IRCAD France avec IRCAD Africa cherche l’égalité d’accès à la chirurgie mini-invasive dans les pays à revenu faible et intermédiaire

Les chirurgiens ont déclaré: “Il est temps pour les Africains d’obtenir des services chirurgicaux modernes et rapides, indolores, citant la LAPAROSCOPIE comme celle qui peut mieux fonctionner”.

Cela a été annoncé lors d’un webinaire axé sur l’avancement de la chirurgie mini-invasive en Afrique organisé par l’IRCAD France en partenariat avec l’IRCAD Afrique.

IRCAD Afrique qui a un bureau à Kigali, la capitale du Rwanda est une filiale de l’IRCAD France.

L’IRCAD (Institut de Recherche contre les Cancers de l’Appareil Digestif) a été fondé en 1994 à Strasbourg, France par le Professeur Jacques Marescaux, un chirurgien passionné par la technologie.

 L’IRCAD est depuis devenu le leader mondial de la promotion et de l’enseignement de la chirurgie mini-invasive.

Le webinaire de l’IRCAD organisé le jeudi 11 mars 2021 a réuni différents chirurgiens dont le Prof. J. Marescaux, Président de l’IRCAD France, le Dr K. Kayondo, Président de l’IRCAD Afrique, le Prof. B. Dallemagne qui a 30 ans d’expérience dans la chirurgie invasive, ainsi que les co-directeurs de cours de l’IRCAD Afrique et les directeurs de cours IRCAD France parmi eux sont le Dr F. Byiringiro, le Dr E. Muhawenima, le Dr D. Ntirushwa, le Prof. D. Mutter, le Prof. T. Piechaud et le professeur A.Wattiez.

Lors de l’événement, le Président Paul Kagame du Rwanda a été félicité pour sa contribution à la création de l’IRCAD Afrique et a reconnu qu’être membre de l’IRCAD est une force supplémentaire pour la promotion de l’utilisation de la technologie médicale, en particulier en chirurgie.

Dans sa présentation, le Dr K. Kayondo, Président de l’IRCAD Afrique explique que «au cours de la prochaine décennie, la chirurgie est considérée comme un problème de santé publique important avec une grande disparité entre le Nord et le Sud, entre les pays à revenu élevé et les pays à revenu faible et ceux de revenu intermédiaire.”

“ La chirurgie mini-invasive est donc devenue la norme d’or pour de nombreuses procédures hautement permanentes avec les techniques modernes.” Le Dr K. Kayondo a noté que «malgré les avantages découlant de la chirurgie mini-invasive, comme moins de douleur, moins de temps, entre autres, la MIS (chirurgie mini-invasive) n’est pas encore une pratique courante dans les pays à revenu faible ou intermédiaire, car la plupart des chirurgiens continuent d’utiliser une technique chirurgicale ouverte.»

«Ainsi, l’introduction du chirurgie mini-invasive dans les pays à revenu faible ou intermédiaire réduira la mortalité et la morbidité associées à la chirurgie et sera particulièrement avantageuse là où il y a souvent un mauvais assainissement, des pratiques de diagnostic limitées, moins de lits d’hôpitaux, une augmentation du taux de traumatismes et ménages à revenu unique. »

S’exprimant lors du webinaire, le professeur A. Wattiez, qui est l’un des gynécologues renommés dans le monde, a déclaré que «la raison pour laquelle l’Afrique devrait avoir des gynécologues avancés est que l’Afrique représente 1,2 milliard de la population mondiale et nous pouvons considérer que la moitié de ceux-ci est femmes qui ont besoin de soins gynécologiques et nous savons que les femmes sont plus exposées aux soins médicaux et chirurgicaux que les hommes et je pense qu’elles méritent vraiment, à mon avis, la LAPAROSCOPIE parce qu’elles font mieux pour elles.

Selon les experts, la laparoscopie est une opération pratiquée dans l’abdomen ou le bassin à l’aide de petites incisions avec l’aide d’une caméra. Le laparoscope facilite le diagnostic ou les interventions thérapeutiques avec quelques petites coupures dans l’abdomen et «utilise cette fois des technologies de pointe».

Il a ajouté que l’Afrique représente près de 17% de la population mondiale et que sa population est trop jeune, il est donc nécessaire de leur donner les soins médicaux qu’ils méritent, car l’Afrique est la grande partie de l’avenir du monde et mérite l’avenir de la chirurgie apportée par l’IRCAD.

«Je suis heureux que l’IRCAD ait ouvert un bureau en Afrique et cela signifie que l’IRCAD et moi, nous aimons l’Afrique.» a déclaré le professeur A. Wattiez.

Dans son témoignage, le professeur T. Piechaud, un urologue spécialisé en urologie robotique et laparoscopique, a insisté sur le fait que «la LAPAROSCOPIE est importante car c’est une forte révolution de la chirurgie invasive à l’approche de la chirurgie mini-invasive».

Il a ajouté que l’IRCAD étant la meilleure école au monde des chirurgiens, doit enseigner et encadrer l’approche mini-invasive.

Le Dr. David Ntirushwa, médecin, obstétricien consultant et gynécologue à Kigali, au Rwanda, a noté que «nous devons passer à la chirurgie mini-invasive parce que nous voulons que nos patients bénéficient de ses avantages tels que: chirurgie qui permet moins de temps dans les salles d’opération, moins de pertes de sang, une récupération plus rapide et un effet anesthésique minimal, etc. »

L’IRCAD Afrique devrait ouvrir officiellement ses portes d’ici la fin de 2021. Des efforts importants sont déployés par le gouvernement du Rwanda en collaboration avec l’IRCAD France pour assurer un grand progrès de la construction malgré la pandémie mondiale actuelle.

IRCAD Africa a hâte de s’associer avec les ministères africains de la santé, les organisations de santé, les associations chirurgicales, les hôpitaux universitaires et les fabricants de dispositifs médicaux, pour aider à promouvoir l’enseignement des dernières techniques de chirurgie guidée par image mini-invasive.

Selon le Dr F. Byiringiro, professeur agrégé de chirurgie et doyen de la faculté de médecine et de pharmacie du collège de médecine et des sciences de la santé au Rwanda, «l’objectif est de former et d’équiper les hôpitaux africains de chirurgiens exceptionnels avec la qualité des services requis.»

«Nous espérons que l’IRCAD Afrique sera le centre d’excellence dans les technologies de chirurgie mini-invasive” ajoute-t-il.

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Connecting future ports with private cellular networks as shipping industry sets to grow than ever before

By Taimur Lodhi, Ericsson Strategic Marketing Director

According to the World Bank, trade represented more than 60% of the global gross domestic product (GDP) in 2019. And 90% of the world’s trade is facilitated by the shipping industry, according to the International Chamber of Shipping. The vast importance of future ports to shipping makes them a vital element for the function of the global economy.

According to statistics data from the United Nations Conference on Trade Development, of the four main types of shipping vessels (oil, bulk cargo, general cargo, and globally standardized containers), the container vessels carry most of the world’s non-bulk items. Many marine terminal operators are seeking new ways to optimize operations through automation. However, container ports have made the most strides in automation to date. This is primarily due to the consistent and standardized nature of the cargo.

In the past, ports operated independently from their peers and exhibited little international collaboration. With a globally standardized container, ports were able to form global container alliances, creating more scalable and automated processes. As smart, connected facilities document additional gains and efficiencies, port operators are increasingly interested in deploying new solutions. However, the high density of devices in a mature smart port presents new challenges and connectivity requirements to manage.

Ericsson’s latest research shows that future ports can create new cost reductions—with an ROI of 178% – as well as increased port worker safety and more responsible environmental impact.

The future of ports: an ocean of opportunity

The shipping industry is set to grow over the next decade. Cargotec, in its Investor presentation (2020), indicated a compound annual growth rate (CARG) of 3.6% for the global container throughput from 2013 to 2024. To handle the growth and increased traffic, future ports will need to adopt smarter and more efficient operations.

Ericsson’s report, “Connected Ports – A guide to making ports smarter with private cellular technology,” details the challenges that ports face. We examined how private cellular networks — typically 4G and 5G — will play a critical role in overcoming these by delivering high-speed connectivity, low latency, and strong performance in environments with high device density. Further, the report features a deep-dive analysis of five high-value use cases that illustrate how 5G-ready networks address specific pain points and offer a path to the future. 

To map the connected ports opportunities, Ericsson collaborated with researchers from Arthur D. Little and experts from ifm electronic GmbH, a global leader in sensor technology and the Industry 4.0 journey.

Navigating stormy seas

The increasing international populations and economic development are also causing consumer and industrial trade demands to grow, and so too must container shipping adapt to keep up. The swell in activity ahead puts more pressure on ports to be more efficient and sustainable while offering more competitive pricing to keep attracting major shipping lines. Port operators are turning to automation and digital transformation to manage any growing pains or choppy waters ahead.

The report details the key challenges faced by ports and how digital transformation can help companies innovate around risky and time-consuming operations to reap returns. For example, if ports adopt remote control or automation for cranes or other equipment, they reduce the risk of harm to onsite human operators and improve efficiency.

Additionally, the report shares the path necessary to bridge the connectivity gaps in future ports. Since previous automation and digital transformation efforts relied on communication technologies that can no longer handle the density, bandwidth, and latency required today, teams need a new approach. For instance, automated guided vehicles navigate throughout the ports as driverless forklifts and other materials handling vehicles. These moving vehicles require ample bandwidth and a reliable connection.

5G-ready private cellular networks enable mission-critical communication services, like voice and data services. In the future, this will help prevent injury, minimize economic impact during disasters or emergencies, and decrease future financial or economic risk. 

5G also means smooth sailing in the future when it comes to positioning accuracy, reliable connectivity for moving objects, as well as using only one backhaul for all services. This ensures port operators can streamline the approach instead of installing several pieces of network equipment on a crane, for example.

Charting the course

To test the value in connected ports, we devised a baseline port with ifm electronic GmbH. The baseline port represents one of the top 100 container ports in the world with approximately 4 million TEUs (twenty-foot equivalent units) per year, generating roughly USD 400 million in revenue.

We analyzed 5 use cases according to their potential for generating strong value, as well as their feasibility. Use cases include:

  • Automated rubber-tired gantry (RTG) cranes
  • Remote-controlled ship-to-shore (STS) cranes
  • Automated guided vehicles (AGVs)
  • Condition monitoring
  • Drones for surveillance and deliveries

Safe harbors

Even though the potential for connected ports can span various applications, our research indicated the five use cases above are the most important, with automated RTG cranes, remote-controlled STS cranes, and cellular-connected AGVs among the most beneficial to ports.

What were the findings?

All use cases would pay for themselves in two to three years, and if all five are deployed together, they provide complete payback within two years and a return on investment of 178% by year five. Beyond the tremendous financial benefits, connected ports create a substantial triple bottom line that includes increased productivity and efficiency, reduced costs, improved safety for workers, and a more responsible environmental impact. 

The pre-condition for catching this “rising tide” is implementing fast, reliable, secure connectivity that only a 5G-ready private cellular network can provide. To see the full findings, read the report “Connected Ports” and check out the smart ports value calculator, which will allow you to see new ROI possibilities.

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Ericsson report charts smarter ports with 5G private networks

  • Ericsson has released its new Connected Ports report, outlining smart use cases that can optimize port operations, create new cost reductions, increase worker safety and sustainability using private cellular technology. 

Ports and shipping are vital for a well-functioning global economy. According to the World Bank, in 2019, trade represented more than 60 percent of the global gross domestic product (GDP). Data from The International Chamber of Shipping reveals that shipping plays by far the largest part in this, facilitating roughly 90 percent of the world’s trading. The ports of the world literally keep its goods flowing.

The comprehensive report, Connected Ports: A guide to making ports smarter with private cellular technology, outlines how challenges of equipment downtime, congested port yards for loading and unloading, worker safety, and environmental impact could be resolved with private cellular networks.

5G-ready private cellular networks provide fast, reliable, and secure connectivity required by a smart port’s network infrastructure to handle the large amounts of data generated by cranes, vehicles, equipment, and workers.

In the maritime report findings, Ericsson collaborated with leading sensor technology provider, ifm electronic, as well as researchers from management consultancy Arthur D. Little, to examine and quantify five use cases with the most beneficial applications for smart port technologies:

  1. Remote-controlled ship-to-shore cranes load and unload container ships, moving containers between the ship and the dock with precision and maneuverability. 
  2. Automated rubber tired gantry cranes stack containers at terminals, crucial for when high-capacity stacking and good maneuverability are needed. 
  3. Automated guided vehicles(AGVs) navigate through the port using smart 3D sensors, handling all port materials, reducing energy costs and risk of accidents. 
  4. Condition monitoring detects faults before they occur, reducing unplanned downtime and maximizing asset productivity. 
  5. Drones deliver documents from ship to shore, reducing costs and environmental impact of crewed boats while also conducting security surveillance of ports. 

The report projects that if all of the five use cases are deployed together, complete payback can be achieved in less than two years. By year five, the report projects that the ROI would be 178 percent for our standard baseline port.

One port that is already deploying these types of smart technologies is Italy’s Port of Livorno – for example, by leveraging 5G technologies to enhance the exchange of real-time information among actors in the port’s terminal process. These applications have the potential to reduce CO2 emissions by 8.2 percent for one terminal operation.

Learn more by reading the full report, Connected Ports: A guide to making ports smarter with private cellular technology, and try the Smart Ports Value Calculator to figure out the ROI for ports deploying different use cases.

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Deux PME rwandaises s’expriment au Forum des anciens élèves des lycées français

Deux entreprises rwandaises à savoir MUNYAXECO et Hooza Media prendront la parole cette année 2021 au Forum  organisé par Union-ALFM Association des Anciens des Lycées Français du Monde.

Ce Forum a pour but de faire partager l’expérience dans le domaine de la création d’emplois et pour partager les opportunités disponibles entre les membres de l’organisation.

Selon ALFM “C’est un événement destiné à rassembler les Alumni de l’Enseignement Français à l’Etranger (EFE) et à les mettre en réseau avec le monde de l’entreprise.”

Ce Forum professionnel aura lieu les 12 et 13 mars 2021 en ligne.

Outre de nombreux orateurs au Forum, des représentants de deux PME rwandaises, MUNYAXECO et Hooza Media, figurent parmi les orateurs du Forum.

Créée en 2013, MUNYAXECO est une entreprise belgo rwandaise conciliant le business et la protection de l’environnement.

MUNYAXECO travaille dans les secteurs de l’énergie solaire et de l’efficacité énergétique en vendant et en installant des équipements écologiques de haute qualité à des prix très compétitifs.

Alors que Hooza est un média convergent utilisant les opportunités du monde numériques pour offrir une nouvelle façon d’accéder et de consommer les contenus multimédia depuis 2012. À l’aide de plateformes mobiles, Hooza diffuse des programmes texte, voix et vidéo à la demande accessibles à la majorité des utilisateurs mobiles en Afrique.

Au total 16 autres panélistes seront présents dont : Didier Acouetey, CEO du cabinet de recrutement AfricSearch, Hélène Baillon (Business France), Henri Monceau, Directeur de la Francophonie économique et numérique à l’OIF (Organisation internationale de la Francophonie), Georgina Siaba, Ancienne élève, chargée d’études à la KOTRA (Séoul), Pedro Novo, Directeur Exécutif en charge de l’export à la Bpi (Banque Publique d’Investissement), Marion Toison Flichy, Conseillère en Environnements de Travail (Haworth).

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Les chefs d’État régionaux approuvent l’inclusion du français dans les langues de la Communauté d’Afrique de l’Est

Les résolutions adoptées par la 21ème réunion ordinaire des chefs d’État des États de l’Afrique de l’Est (CAE) incluaient l’adoption du français comme langue officielle de la CAE après l’anglais et le swahili.

La réunion était présidée par le président Paul Kagame du Rwanda avec la participation des chefs d’État de la région, dont le président du Kenya, Uhuru Kenyatta, le président du Burundi, Evariste Ndayishimiye, le président ougandais Yoweli Kaguta Museveni, Salva Kiir du Soudan du Sud, des représentants de la Tanzanie, de la Somalie et de la République démocratique du Congo en tant que pays souhaitant devenir membre.

Le fait que la langue française ait été ajoutée aux langues utilisées dans la région signifie que c’est une opportunité pour la population de cette communauté car elle réduira les barrières linguistiques dans le commerce étant donné qu’un grand nombre de résidents de la Communauté d’Afrique de l’Est en plus des langues maternelles, le français aussi est largement utilisées.

Cela signifie également élargir la coopération avec les pays européens car la CAE a déjà des accords commerciaux avec ces pays qui utilisent le français.

En 2018, le président Kagame du Rwanda avait confirmé que la langue française est importante dans la région car elle est utilisée par la population, même si l’anglais est la langue la plus utilisée dans le commerce transfrontalier.

S’adressant à TV5 Monde, le président Kagame a déclaré que trois langues sont largement parlées au Rwanda: le kinyarwanda, l’anglais et le français.

“Il s’agit d’être visionnaire dans les activités dans lesquelles nous sommes impliqués. Ce que nous avons fait, c’est d’ajouter l’anglais au français, en fait, il ya certaines écoles du Rwanda qui enseignent le chinois et l’allemand.”

Le Président rwandais a poursuivi en disant que le Rwanda est membre de la Communauté de l’Afrique de l’Est, où presque tous les pays parlent anglais et les Rwandais travaillent avec eux dans divers secteurs.

Il a déclaré que le Rwanda n’avait pas besoin d’abandonner le français et ne l’a jamais fait, tous ceux qui disent que ce n’est pas vrai.

«Ceux qui nous accusent de cela ont tort […] ce que je peux vous dire, c’est qu’au Rwanda, nous avons une langue commune, le kinyarwanda, et nos gens apprennent, enseignent et parlent le français et l’anglais.”

Le 11 octobre 2018, la Rwandaise Louise Mushikiwabo, ancienne ministre des Affaires étrangères du Rwanda, a été élue secrétaire générale de l ‘Organisation internationale de la Francophonie (OIF)

L’approbation par la CAE de l’utilisation de la langue est également considérée comme une victoire de la langue française.

Outre le fait que le Rwanda, le Burundi et la RDC utilisent le français de manière générale, cela n’empêche pas l’utilisation de la langue par les populations de l’Ouganda, de la Tanzanie, du Kenya, de la Somalie et du Soudan du Sud.

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L’Union-ALFM organise son 2ème Forum Professionnel pour les anciens élèves francophones du monde

L’Association des Anciens élèves des Lycées Français du Monde (Union-ALFM) organise son 2ème Forum Professionnel, les 12 et 13 mars 2021.

C’est un événement destiné à rassembler les Alumni de l’Enseignement Français à l’Etranger (EFE) et à les mettre en réseau avec le monde de l’entreprise.

Après le succès de la première édition parisienne, le Forum professionnel 2021 sera 100% digital, ouvert aux Alumni des 5 continents et diffusé sur un site dédié.

Cet événement s’adresse aux 600 000 anciens élèves estimés à travers le monde. L’Union-ALFM réunit déjà sur sa plateforme plus de 8 000 inscrits, de 132 nationalités, dont 71% sont âgés de 18 à 30 ans.

Ces anciens élèves, tous francophones, pour la plupart polyglottes (67% parlent au moins 3 langues) et riches d’une expérience internationale, constituent une ressource précieuse pour les entreprises.

“ Si je devais résumer les trois qualités de nos anciens élèves, je dirais adaptabilité parce qu’ils ont eu l’habitude de s’adapter aux différents pays dans lesquels ils ont vécu. Multiculturalisme parce qu’ils sont tous francophones mais pas tous français et plurilinguisme parce qu’il n’est pas rare que nos anciens élèves parlent deux, trois, voire quatre ou cinq langues. ” explique Dominique Tchimbakala, Présidente de l’Union-ALFM

Des rencontres professionnelles en ligne avec une vingtaine d’entreprises pour les Alumni des lycées français à l’étranger

Au cours d’ateliers en visioconférence (1h), les participants échangeront avec les entreprises présentes sur leurs secteurs d’activité, leurs marchés et leurs projets. Ils pourront bénéficier de retours d’expériences et éventuellement décrocher un emploi. Start-ups, PME, grands groupes et diverses organisations participeront à ces ateliers.

Pour la premiere fois cette année, deux entreprises rwandaises, MunyaxEco www.munyaxeco.com et Hooza Media www.hooza.rw participeront à ce forum virtuel

« Covid-19, comment sortir de la crise ? » : 4 émissions-débat

Entrepreneurs, experts et anciens élèves feront part de leurs expériences et apporteront leurs pistes de solutions sur les sujets suivants :

  • Doper son employabilité en temps de Covid-19
  • Les atouts des francophones dans le monde des affaires
  • Covid-19, quelles opportunités pour l’emploi ?
  • Après la pandémie, quels nouveaux usages et organisation du travail ?

Au total 16 panélistes seront présents dont : Didier Acouetey, CEO du cabinet de recrutement AfricSearch, Hélène Baillon (Business France), Henri Monceau, Directeur de la Francophonie économique et numérique à l’OIF (Organisation internationale de la Francophonie), Georgina Siaba, Ancienne élève, chargée d’études à la KOTRA (Séoul), Pedro Novo, Directeur Exécutif en charge de l’export à la Bpi (Banque Publique d’Investissement), Marion Toison Flichy, Conseillère en Environnements de Travail (Haworth).

L’événement est ouvert aux anciens élèves et aux invités qui pourront s’inscrire et suivre les conférences en ligne.

Le Forum professionnel de l’Union-ALFM est organisé avec le soutien de L’AEFE (Agence pour l’enseignement français à l’étranger) et de TV5MONDE.

Ils nous ont fait confiance en 2019:

« Les anciens élèves des lycées français sont plus facilement adaptables. Ils sauront toujours comment rebondir devant une situation complexe. En participant au Forum, nous venons chercher des talents qu’il est difficile de trouver ailleurs. » NIKA DA SILVA ALVES, Responsable du Capital Humain chez BGFIBank Europe

« Il n’existe pas de recherche LinkedIn pour identifier ces Alumni et pourtant ils ont une véritable valeur ajoutée. Les associations d’anciens élèves permettent de trouver ces talents qui ne sont pas forcément visibles sur les réseaux sociaux. » CÉDRIC FILET, Fondateur d’Aldelia – Cabinet de recrutement international

« Chez Eutelmed, comme nous travaillons avec des populations d’expatriés, nous venons chercher des personnes qui savent ce que vivre dans un autre pays signifie. Ce sont pour nous des ressources précieuses disposant d’un large réseau international. »  ÉMILIE THOMAS, Responsable communication d’Eutelmed (Télémédecine)

Contacts presse :

Marine Durand, Coordinatrice de projets Union-ALFM

Tél : +33 (0)6 11 35 23 53 | Mél : forum@union-alfm.fr   

Facebook : https://www.facebook.com/alfmonde  

Twitter : https://twitter.com/ALFM_monde  

Sites web de l’Union-ALFM : www.alfm.fr | https://alfm.fr/page/qui-sommes-nous

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Jérémie Blin visite le chantier de construction du Centre Culturel Francophone du Rwanda

Jérémie Blin visite le chantier de construction de l’Institut Français au Rwanda ce mercredi 24 février 2021..

Le Chargé d’Affaires de l’Ambassade de France au Rwanda, Jérémie Blin, a visité le chantier de construction et s’est dit satisfait de l’avancement des travaux de construction.

Le chantier de ce centre culturel se situe près du Kigali Convention Centre.

Comme l’annonce l’ambassade de France au Rwanda via son twitter: «Les travaux de construction progressent bien.”

Ils ajoutent que les activités culturelles et linguistiques démarrent très prochainement.

Le centre comprendra deux bâtiments, l’un composé du Bureau de la langue et de la culture et l’autre sera un lieu d’exposition culturelle, de conférence et une médiathèque.

En mars 2020, à l’occasion du 50e anniversaire des pays francophones [La Francophonie], Jérémie Blin a déclaré que les travaux de construction devaient être achevés d’ici 2020, qui a ensuite été tourmentée par la crise sanitaire due au COVID-19.

Le Rwanda est membre de la Francophonie depuis 1970.

Bien avant il y avait un centre culturel français, le Centre D’Echanges Culturels Franco-Rwandais, qui était situé à côté d’un grand rond-point de la ville de Kigali, mais il a été démoli en 2014 par la municipalité de la Kigali après avoir réalisé que le terrain sur lequel il était situé n’était pas utilisé correctement selon les règles du plan directeur de la ville.

La fermeture et la démolition du bâtiment est un acte que certains ont lié à une relation tendue entre le Rwanda et la France.

La visite de Jérémie Blin intervient alors que le Rwanda se prépare à accueillir le président français Emmanuel Macron, qui doit se rendre au Rwanda dans les prochains mois, une période pendant lequel le Rwanda commémore le génocide contre les Tutsi.

Une source diplomatique au ministère français des Affaires étrangères a déclaré que la visite de Macron au Rwanda comprendra une visite à l’Institut français de Kigali.

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Ericsson named a Leader in the 2021 Gartner Magic Quadrant for 5G Network Infrastructure for Communications Service Providers report

  • Ericsson’s commercial 5G leadership and technology evolution is independently known industry-wide
  • Ericsson positioned highest for ‘Ability to Execute’ in the Gartner Magic Quadrant
  • End-to-end 5G platform central to customer-focused 5G strategy

Ericsson (NASDAQ: ERIC) has been named a Leader in the 2021 Magic Quadrant for 5G Network Infrastructure for Communications Service Providers by independent IT research and advisory company, Gartner.

Ericsson’s Leaders quadrant recognition in the February 2021 Gartner Magic Quadrant for 5G Network Infrastructure for Communications Service Providers (CSPs) report recognizes the company’s Leader position in both completeness of vision and ability to execute.

Vendors offering 5G solutions for communications service providers were comprehensively and independently assessed and evaluated by Gartner experts on their completeness of vision and ability to execute, to provide a market snapshot on 5G infrastructure abilities.

End-to-end 5G network infrastructure vendors were evaluated on how they enable IT provider performance to be competitive, efficient and effective and to positively impact revenue, retention and reputation within Gartner’s view of the market. The assessment of ability to execute included Ericsson’s products and services, Market Responsiveness and Track Record, Marketing Execution, Customer Experience, and Overall Viability.

Graphic: 2021 Magic Quadrant for 5G Network Infrastructure for Communications Service Providers report

Fredrik Jejdling, Executive Vice President and Head of Networks, Ericsson, says: “From research to rollout, we have invested heavily in 5G to ensure we have the best products, skills and field personnel to meet our customers’ needs. We believe that recognition as a Leader in the Magic Quadrant from Gartner reflects our technology leadership, market competitiveness, determination to innovate and commitment to our customers.”

Ericsson, as an industry leader in 5G networks, currently has more than 130 commercial 5G agreements with unique communications service providers (CSPs) and powers 79 live 5G networks across the globe.

Ericsson continuously evolves its end-to-end 5G offerings, which include Ericsson Radio System, 5G Core, Orchestration and 5G Transport as well as professional services. The company has introduced innovative software solutions such as Ericsson Spectrum Sharing, 5G carrier aggregation and Uplink Booster, which significantly improve coverage, user throughput and spectral efficiency. 

These solutions support service providers in deploying and evolving 5G to ensure the best end-user experience. In addition, Ericsson Radio System products delivered since 2015 can support 5G New Radio (NR) capability through remote software installation.

Ericsson Digital Services offers a dual-mode 5G Core solution for smarter networks to drive smarter business, allowing communications service providers to offer a multitude of new business opportunities for mobile users and industries.

Ericsson’s 5G Core solution combines an Evolved Packet Core and 5G Core network functions into a common cloud-native platform that supports 5G NR Standalone and Non-standalone, plus 4G, 3G and 2G.

Download the full report: the 2021 Gartner Magic Quadrant for 5G Network Infrastructure for Communications Service Providers

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Ericsson appoints Sena Erten as Head of People for Market Area Middle East and Africa

Ericsson (NASDAQ:ERIC) today announced the appointment of Sena Erten as Vice President and Head of People at Ericsson Middle East and Africa and a member of the market area leadership team.

In her new role, Sena will work to realize the company’s people vision in the market area,inspire and guide the business towards a world-class employee experiencethat is people centered, adopting the latest digital technologies, andleading the way in driving our company culture.In a fast transforming industry, Sena will drive Ericsson’s people transformation in the region through innovative leadership, attracting and retaining the best talents and helping Ericsson to win in the talent marketplace while creating a compelling employee experience.

Fadi Pharaon, President of Ericsson Middle East and Africa said: “People are at the center of everything we do at Ericsson. I am delighted to welcome Sena into her new role. Herextensive knowledgeand experiencewill further strengthen our people function.In a high-paced industry, pushing the envelope of technology, Sena will work to address the fast-changingcompetence development needs of our company by unlocking the human potential, upskilling and reskilling talents, enabling us to stay ahead of the market and adding value to our customers.”

Sena brings 20 years of human resources and executive experience to Ericsson, rooted in a passion for people development, building diverse and inclusive cultures and high-performing, empowered organizations.

On the occasion of her appointment, Sena says: “I am excited to join the Ericsson family and be part of the team; realizing Ericsson’s vision of an intelligent, sustainable and connected world. I look forward to drive the company’s people strategy in the region, realizing the talents’ full potential while building a culture of excellence and supporting our teams in finding new and effective ways to engage, lead and collaborate.”

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Ericsson recognized for COVID-19 response leadership by Global Business Alliance

The Global Business Alliance (GBA) recognized Ericsson for its innovative contribution to combating the COVID-19 pandemic. Throughout the pandemic, GBA members have utilized their expertise, resources and dedicated employees to combat the COVID-19 pandemic.

“What’s amazing about Ericsson’s story is how they mobilized their highly-skilled workforce to share their technical expertise in deep learning to help researchers better understand this disease,” said Nancy McLernon, president and CEO of the Global Business Alliance.

At the onset of the pandemic in the U.S., more than 350 Ericsson employees came together virtually as a volunteer team, leveraging automation and artificial intelligence (AI) techniques to create tools to accurately utilize the ever-growing set of academic papers published on the COVID-19 virus. In just 27 days, the team completed and submitted a solution for all nine tasks included within the federal government’s COVID-19 Open Research Dataset Challenge (CORD-19), which aimed to develop AI tools to help the medical research community address urgent questions posed by the pandemic.

“Ericsson employees have always been eager to jump in and help, leveraging our technology for good. It’s truly part of our culture where our employees embrace the responsibility to give back through selfless volunteering,” said Niklas Heuveldop, President and Head of Ericsson North America. “This was a very different challenge and a true testament to the resourcefulness and dedication of our team across the world, mobilizing quickly to help contribute to a solution for this global pandemic. Thank you Global Business Alliance for supporting international companies in the United States, and recognizing Ericsson for this award.”

Ericsson’s effort produced significant results in the form of research tools that enable medical professionals, public health officials and other leaders to synthesize the increasing volume of medical research on COVID-19 and related viruses that now consists of over 200,000 articles.

The Awards, which were presented by GBA in a virtual event streamed earlier, showcase the significant contributions that international companies make to local U.S. communities. Many international companies offer their employees the opportunity to volunteer and help direct the company’s corporate social responsibility efforts.


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